je marche sans m'arrêter.
Dans les pierres et les chemins.
Je ne me retourne même plus
Et comme je me semble très las.
Je fuis les villes, touts les gens,
La cause de tout mes tourments.
Ceux en qui j' ai cru,
Eux aussi, m'ont beaucoup déçu.
Mais où vais-je prêcher?
Nul ne va m'écouter.
Et jusqu'a mon linceul,
Je serai toujours seul.
Pourtemps, je ne pleurerai plus,
car rien ne pourra changer.
J'essuie mes yeux rougis,
Et panse mon âme meurtrie.
C'est ça embrasse les fleurs.
Je pose sur la terre mon coeur.
La terre, je peux l'aimer,
Car un jour je devrai y aller.