
Vivre d'indulgence et de pardon,
Oublier les frissons et les chaleurs,
Ne plus vivre de ce qui fait peur,
Et rester seul comme un con.
Solitude, amie ou ennemie,
On se trouve sans se chercher,
Et tu occupes toutes mes pensées,
Je suis devenu seul et sans amis.
Je perds ma dernière bataille,
Sans lutter ni frémir,
Sans blasphémer ni faire rougir,
Il faut peut être que je m'en aille.
Pour t'oublier solitude,
Et que je ne m'habitue pas à ton attitude.